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Les labyrinthes de la République

Balduyck Avec Les labyrinthes de la République, Jean- Pierre Balduyck s’interroge sur l’action politique, sur sa finalité. Il constate parfois des faiblesses, des manques... Mais il n’entend pas baisser les bras, ni céder au décourage- ment, à la fatigue sociale, alors qu’on peut constater le repli sur soi, voire l’égoïsme. C’est pourquoi, après avoir établi un constat, il entend aller plus loin en établissant ce qu’il appelle des « choix de thèmes pour servir l’avenir », nourris de son action, de ses interro- gations, de sa volonté de faire avancer la socié- té, vers toujours « plus de »... de démocratie, de justice, d’humanité, de responsabilité, de fraternité, de solidarité, de socialisme.

Un essai à lire, à méditer, pour nous faire progresser, refonder le bien commun, nous redonner confiance dans l’avenir, nous inciter à l’engagement.

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Rédigé à 16:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

L’Économie sociale et solidaire, sous la direction de Razzye Hammadi

Couv_rh Depuis février 2010 au sein du Laboratoire des idées du Parti socialiste, j’ai eu la chance, avec Antoine Détourné, de coordonner et animer un groupe d’experts, chercheurs, praticiens, et de mili- tants de l’économie sociale et solidaire, ce collectif a œuvré à ce qu’il convient de caractériser comme l’une des réflexions les plus abouties du PS dans le domaine, et ce depuis longtemps. De Claude Alphandéry à Jean-Louis Laville, en passant par Jean-Marc Borello, nombreuses sont les illustres contributions qui ont prêté main forte à ce projet.

De plus, la particularité ainsi que la plus-value des travaux ne réside pas seulement dans le travail de recherche ou bien encore dans la multiplicité des points de vues synthétisés au travers d’une orientation à la fois offensive et novatrice, mais plutôt dans cette conviction que l’économie sociale et solidaire ne doit plus être la béquille d’un système économique à bout de souffle ou pis encore, le supplément d’âme d’un projet économique qui se voudrait progressiste, mais bien le cœur battant de cette Autre économie que nous voulons.

Au lendemain de la crise financière, c’est l’identité même des préceptes économiques qui a été interrogée : capital contre démo- cratie, captation contre répartition, profit au détriment du déve- loppement sont les couples de valeurs antagonistes qui permettent à ce texte de prendre tout son essor autour de propositions concrètes, de mesures fortes et de convictions renouvelées.

Car si aujourd’hui, l’« Autre économie » résonne dans les entrailles de l’économie sociale, il se pourrait bien que demain ce soit l’éco-nomie capitaliste, celle d’un autre temps, qui devienne l’Autre économie, marginale... voire minoritaire.

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1981 : Le sens de la victoire

Jalaber10mai L'Encyclopédie du socialisme va publier début mai un nouvel ouvrage, consacré aux racines et au sens   de la victoire du 10 mai 1981 : avec 51,76 % des voix, François Mitterand accédait de jour-là à la présidence de la République.


Ce livre, rédigé par Laurent Jalabert (auteur de plusieurs livres sur notre histoire politique contemporaine, dont deux ont été publiés dans notre collection : sur l'Europe et sur la régionalisation) entend expliquer ce moment historique majeur de la vie de notre pays par un retour sur les années qui ont précédé. Il remonte au 13 mai 1958, jour où François Mitterrand choisit l'opposition au général de Gaulle, et entame un long cheminement vers la conquête du pouvoir présidentiel.


Ce faisant, Laurent Jalabert nous fait revivre les grandes étapes de ces 23 ans : 1965, 1969, 1971, 1974, etc.
Vous pouvez utiliser le bon de commande.

(un tarif de souscription est actuellement proposé : 13 euros au lieu de 15 à la sortie de ce livre).

Rédigé à 14:16 dans Actualité, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Jean-Christophe Cambadélis « Dis-moi où sont les fleurs ? » Essai sur la politique étrangère de Nicolas Sarkozy

Couv_JCC_ES176 La politique étrangère est sans doute ce qui permet le mieux au président de la République d’exprimer sa personnalité et ses idées. Dans le style comme sur le fond, la politique étrangère est une expression « pure » de ce que veut et de ce que vaut la présidence.

Porter un jugement sur la politique étrangère de Sarkozy,

c’est se prononcer à la fois sur le style présidentiel et sur l’instrumentalisation intérieure d’une politique. C’est surtout s’interroger sur l’absence de politique claire, de sens, de cohérence de la politique étrangère de Nicolas Sarkozy.

Aux enjeux classiques de la politique internationale s’ajoutent désormais de nouveaux sujets qui ne peuvent être ni pensés, ni défendus à l’échelle nationale, ou même continentale. C’est au regard de ces enjeux qu’il faut mesurer l’action diplomatique de Nicolas Sarkozy.
Nicolas Sarkozy a trouvé dans la politique étrangère une sorte de prolongement de sa politique intérieure, fondé sur le primat de la « famille occidentale » et du maintien de l’ordre légitimé par les « valeurs ». Il a pris ainsi le contre-pied de toute une tradition française.

Mais si Nicolas Sarkozy est partout, la France n’est nulle part.

Et l’essai démontre qu’à trop vouloir se substituer au Premier ministre, on en oublie le monde.

Député de Paris, Jean-Christophe Cambadélis est apprécié comme un des meilleurs analystes politiques du Parti socialiste. Il est, depuis 2008, secrétaire national à l’Europe et à l’International.

Auteur de plusieurs ouvrages, il a publié en 2004 dans la même collection, Que faire au Parti socialiste ? ou l’éternel commencement, 1905-2005.

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Rédigé à 17:33 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Les secrets de l’expédition de Suez

Suez Le 26 juillet 1956, dans un monde crispé par la guerre froide, Nasser annonce dans un éclat de rire la nationalisation du canal de Suez. Une partie d’échecs s’engage alors à l’échelle de la planète. La France de Guy Mollet et la Grande-Bretagne d’Anthony Eden, concernées au premier chef, veulent répliquer par une intervention militaire pour faire respecter le droit international, sauvegarder leurs intérêts, protéger l’État d’Israël directement menacé par le monde arabe et, peut-être, renverser Nasser, fidèle soutien des indépendantistes algériens.Mais Londres, Paris et Tel-Aviv sont bien isolés. L’Union soviétique approuve le Raïs et les Américains verraient volontiers la mise hors jeu de concurrents dans un Proche-Orient bien pourvu en pétrole.

En application d’un protocole secret signé à Paris le 24 octobre, l’armée israélienne attaque l’Egypte le 29 et remporte des succès foudroyants. Le 5 novembre, Français et Anglais débarquent à Port-Saïd. Américains et Russes s’unissent alors pour faire céder les deux puissances occidentales, qui doivent s’incliner la rage au coeur.

Denis Lefebvre, grâce à des documents jamais publiés jusqu’à présent, éclaire d’un jour nouveau cette incroyable aventure politico-militaire, dont les conséquences demeurent immenses.

Denis Lefebvre, secrétaire général de l’Office universitaire de recherche socialiste, est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages historiques, parmi lesquels Guy Mollet, le mal-aimé (Plon, 1992) et, avec Alain Bergounioux, Le Socialisme pour les nuls (First, 2008).

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Rédigé à 17:23 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Georges Guille, le gitan rouge

Article paru dans L’OURS, mensuel de critique littéraire, culturelle, artistique, n°391, septembre-octobre 2009, p. 8

À travers la biographie de ce leader languedocien dont le rayonnement fut grand au sein de la SFIO des années cinquante et soixante, Jacques Fleury met en scène un animal politique étonnant, à la fois représentatif des cadres et des élus d’un socialisme alors essentiellement rural, et pourtant atypique à bien des égards.

Issu par son père de petits vignerons du Minervois, et par sa mère d’immigrés andalous, marqué par le décès prématuré de son « poilu » de père, Georges Guille est fait au moule laïque de l’École normale d’instituteurs de Carcassonne, formidable fabrique de « hussards rouges ». Il rompt ses premières lances très jeune et réussit à se faire élire conseiller général à 26 ans, troublant la tranquillité des notables radicaux et de leur chef inamovible Albert Sarraut. La Résistance, où il compense son éloignement administratif dans le Gard par de permanents contacts politiques dans l’Aude, et surtout la reconstitution du parti à la Libération, lui permettent d’affirmer ses dons oratoires et sa pugnacité lors de campagnes électorales souvent homériques, face aux radicaux encore présents et aux communistes particulièrement actifs dans un milieu viticole où lui-même se meut avec l’aisance d’un réel « intellectuel organique ».

Fleury apporte d’inédites et étonnantes révélations sur l’éviction du leader SFIO d’avant-guerre Eugène Montel. Ayant participé lui aussi de manière indiscutable à la Résistance mais coupé de l’Aude, ce dernier fera une belle carrière en Haute-Garonne. Au passage, on comprend un peu mieux la distance prise par Blum, dont Montel était resté intime, à l’égard des socialistes narbonnais. À la distance engendrée par l’écart d’une bonne génération s’ajoutait l’intransigeance doctrinale, allant jusqu’au souhait d’un retour à l’unité organique PS-PCF du jeune Guille face à la conception « travailliste » du vieux leader. Député dès 1945, Guille préside le Conseil général de l’Aude presque continûment jusqu’en 1973. Entré, à peine quadragénaire, dans le gouvernement Guy Mollet pour y lancer le programme nucléaire civil, sa carrière très prometteuse subit un premier arrêt en 1958. Son opposition déterminée à de Gaulle le sépare alors de Mollet mais il œuvre pour maintenir l’unité du Parti en faisant prévaloir la liberté de vote pour l’investiture du général, épisode décisif entérinant de fait la chute de la IVe.

Replié sur ses terres audoises, il reste puissant et n’hésite pas à maintes reprises à croiser le fer avec les représentants d’un « pouvoir personnel » qu’il dénonce sans relâche. Remarqué par Mitterrand qui le sollicite pour son contre-gouvernement en 1966, il ne s’associe pas pour autant à ce qu’il considère non comme une rénovation mais comme une liquidation du Parti socialiste à des fins de carrière personnelle, au prix d’ouvertures suspectes et de confusions idéologiques. Il finit par renoncer à adhérer au nouveau PS et abandonne ses mandats pour s’enfermer dans un isolement un peu hautain, la SFIOccitane qu’il esquisse en 1973 n’ayant jamais pris consistance.

 

L'opposant au pouvoir personnel

Disciple politique et ami proche, Jacques Fleury laisse percer l’admiration du témoin sans se départir de l’esprit critique qui sied à l’historien. Cette biographie vient très heureusement éclairer et compléter la minutieuse histoire du socialisme audois de Jean Lenoble (L’OURS n°352). Mais, bien au-delà de précisions très utiles aux observateurs des politiques viticoles dont Guille fut parfois le concepteur et toujours le critique attentif et compétent, l’ouvrage contribue à expliquer maints épisodes cruciaux de la vie nationale du Parti de 1945 à 1971 : la CED, la guerre d’Algérie, la construction européenne, sur tous ces sujets, Guille a pris position, et pas toujours de façon suiviste, à l’égard de Mollet qui reste tout de même sa référence essentielle. On découvre ainsi d’originales positions sur le mode de scrutin, Guille militant par exemple pour le scrutin uninominal peu prisé par les cadres SFIO.

Artisan d’une hégémonie SFIO sans faille dans son département, Guille a peut-être présumé des possibilités nationales d’un parti déclinant, dont la crédibilité entamée dès la IVe république par la guerre d’Algérie, devait s’effondrer encore dans les hésitations dont il fit preuve sous la Ve, passant de « l’avant-garde  » du régime à une opposition systématique, mais dépourvue d’alliés sûrs. Ainsi s’éclaire la naissance du PS d’Épinay, à laquelle Guille s’opposa à sa manière, avec sincérité, conviction et panache. Cette lutte pathétique du tournant des années 1970 prend aujourd’hui, à l’heure d’une rénovation largement souhaitée mais tardant à se réaliser, une acuité particulière. Historiens et militants se prendront à imaginer le « Gitan » de Carcassonne portant derechef à la tribune son verbe chaleureux pour y rappeler les fondamentaux d’un socialisme toujours en chantier mais vivant et nécessaire en ses contradictions héritées ou nouvelles. Fourmillant de documents rares – débats internes à la SFIO, discours, correspondances inédites –, de souvenirs ou témoignages de camarades ou d’adversaires, pourvu d’un très utile index, ce superbe livre, solide et pertinent, mérite une large audience.

Rémy Pech

Jacques Fleury, « Georges Guille, le socialisme au cœur », Mémoire(s) du socialisme 2009. 366 p. 25 euros

 

Rédigé à 16:00 dans La presse en parle... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Denis Lefebvre : 1969 et la rénovation socialiste

D_lefevre1969 1969 est une année décisive dans le processus de rénovation du socialisme français initié par la SFIO dès 1963, avec des temps forts, des moments de doute et de division.

1969 voit la naissance – certes douloureuse – du Parti socialiste, favorisée par la disparition de la SFIO, sur fond de tensions entre les différentes familles de la gauche socialiste, accentuées par des divisions autour d’une élection présidentielle aux résultats catastrophiques.

Cet essai revient sur les enjeux véritables de cette année 1969, occultée dans la mémoire collective des socialistes français par le congrès d’Epinay en 1971, moment mythifié à l’excès, et brosse une fresque des forces en présence.

Denis Lefebvre est secrétaire général de l’OURS, Office universitaire de recherche socialiste. Depuis son Guy Mollet le mal aimé (Plon, 1992) il a publié de nombreux ouvrages sur l’histoire du socialisme contemporain.

Rédigé à 13:31 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

Jacques Fleury : Georges Guille, Le socialisme au cœur

Cent ans après sa naissance en 1909, comment ne pas revenir sur la vie et l’action de Georges Guille qui s’efforça, jusqu’à son décès en 1985, de défendre dans son fief de l’Aude comme à Paris le socialisme le plus pur, celui qu’il avait hérité de Jaurès, Blum et Ferroul…

Avec fougue et passion, mais aussi avec intransigeance, Georges Guille a servi le parti de sa jeunesse, celui de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière), au point de ne pas adhérer au Parti socialiste né en 1971 au congrès d’Epinay, refusant la mainmise de François Mitterrand. Georges Guille – celui que les Audois appelaient affectueusement le « Gitan » – a servi le socialisme par le verbe (il a été un orateur hors pair, faisant vibrer les foules) et dans l’action au quotidien, comme élu et dirigeant : conseiller général de l’Aude pendant 37 ans, président de l’assemblée départementale  pendant 25 ans, parlementaire de 1945 à 1973, secrétaire d’Etat chargé de l’énergie atomique en 1956.
A son décès en 1985, le Midi libre a écrit de lui : « De tels parcours, l’histoire est avare »… S’appuyant sur ses souvenirs et sur des archives inédites, Jacques Fleury, qui fut un proche de Georges Guille, nous fait revivre cet homme au parcours exceptionnel.

Militant socialiste depuis 1959, ancien membre du comité directeur de la SFIO et du Parti socialiste, ancien député, actuel maire de Roye, Jacques Fleury a déjà publié Cité Malesherbes et Le socialisme c’est quoi ? (aux Editions Bruno Leprince).

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Rédigé à 11:42 dans Mémoires du socialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Cartes postales

Depuis 2003, l’Encyclopédie du socialisme a réalisé près de 80 cartes postales historiques et contemporaines sur le mouvement socialiste : événements (Commune de Paris, Front populaire, « unes » de journaux, etc.), reproductions d’affiches électorales, portraits des responsables socialistes du XIXe siècle à nos jours (photographies ou caricatures).

Nous avons ajouté cette année à cette collection qui se constitue progressivement des dessins humoristiques, en ayant fait appel à un dessinateur contemporain.

Ces cartes sont mises en vente dans les différentes manifestations où nous tenons un stand. Nous souhaitons les offrir à un tarif particulièrement intéressant à celles et ceux qui, depuis 2003, ont acheté certains de nos ouvrages, ou qui suivent nos travaux. Nous y ajouterons en cadeau un « carnet de notes » de 32 pages, que nous avons réalisé pour le récent congrès socialiste de Reims.

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Rédigé à 17:03 dans Mémoires du socialisme | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

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Rédigé à 16:48 dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

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