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Corinne Bord : L’économie sociale, l'autre modèle


Septembre 2008 : la crise financière plonge le monde dans des interrogations sur un système capitaliste hors de tout contrôle.
Il est indispensable de s’attaquer aux causes profondes de ce cataclysme, car c’est bien la logique de l’économie spéculative et virtuelle qui est en cause.

Plus que jamais, l’économie sociale représente une autre voie pour construire un modèle respectueux
de l’Homme et de l’environnement.
Un modèle social, économique et sociétal où la démocratie est autant présente dans la société que dans l’entreprise.

Sous les feux de l’actualité, l’économie sociale s’impose comme élément d’un nouveau monde.

Corinne Bord est vice-présidente de la Fédération Léo Lagrange, et vice-présidente de la Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA), en charge des questions européennes. C’est à ce titre qu’elle siège au conseil d’administration du CEGES et au Conseil supérieur de l’économie sociale.

Rédigé à 17:09 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Laurent Jalabert : Les socialistes et l’Europe


Partisans de la construction européenne, les socialistes français ont majoritairement défendu, depuis la signature des traités de Rome en 1957, la mise en oeuvre des Communautés européennes, puis le développement de l’Union européenne.

Pour autant, malgré cette volonté constante, ils se divisent régulièrement sur le sujet européen.
Les lignes de fracture se renforcent au fil des années :tant dans les années 1970, avec l’opposition non dissimulée du CERES, que dans les années 1990 autour des grands textes européens, ou plus encore dans les années 2000 autour du traité constitutionnel.

Longtemps thème porteur pour la gauche socialiste, la construction européenne devient un sujet embarrassant en ce début du XXIe siècle.

Laurent Jalabert, agrégé d’histoire, est maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Nantes. Ses travaux portent sur l’histoire politique et culturelle de la France sous la Ve République, tout particulièrement l’histoire des gauches.

Rédigé à 16:34 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

L'Encyclopédie du socialisme à La Rochelle…

Cartes postales et livres étaient au rendez-vous, sur le stand de l'Encyclopédie du socialisme et de l’OURS (Office universitaire de recherche socialiste)… éléments désormais incontournables des rencontres socialistes.

Cartes postales historiques et contemporaines, qui attirent toujours l’attention des délégués et de la presse.
La presse et divers sites internet les ont présentées, de La Tribune à Marianne, en passant par Le Figaro et 24 heures, et même Gaullistes populaires et sociaux… !
Nous avons surtout centré nos dernières livraisons sur des cartes postales historiques, et nous préparons une nouvelle série pour le congrès socialiste de Reims, en novembre dans la continuité de ce qui a été initié en 2005 (71 cartes ont été réalisées à ce jour, avec des retirages pour plusieurs d’entre elles) en y intégrant cette fois quelques clins d’œil humoristiques contemporains.

Ouvrages

A l’occasion de La Rochelle, nous avons publié…
… quatre nouveaux livres au format habituel, de 128 pages : Laurent Jalabert (Un combat socialiste : la régionalisation 1950-2008) ; Robert Chapuis (La rose et la croix. Socialistes et chrétiens) ; François Kalfon et Tristan Klein (Le temps de la réconciliation. La gauche et le travail) ; Jean-François Claudon et Julien Guérin (Les jeunes socialistes d’Epinay à la génération CPE)
… deux ouvrages au même format, mais dans une pagination plus réduite : Laurent Baumel (La gauche a-t-elle besoin d’un chef ?, 32 pages) ; Alain Bergounioux (Déclarations de principes socialistes, 1905-2008, 64 pages). Cette plaquette d’Alain Bergounioux intègre la dernière déclaration de principes socialistes, adoptée par le Parti socialiste avant l’été 2008. Nous suivons au plus près l’actualité socialiste…
Tous ces ouvrages ont donc été présentés à La Rochelle, et plusieurs séances de dédicaces ont été organisées avec les auteurs.

A signaler aussi qu’un débat a été organisé dans l’université des jeunes socialistes, avec Jean-François Claudon et Julien Guérin, en présence d’Antoine Détourné, président du MJS et de Benoît Hamon, ancien président.

Tout au long de cette université d’été du Parti socialiste, précédée de celle des élus socialistes (à laquelle nous avons également été présents) plus de 300 livres de l'Encyclopédie du socialisme ont été vendus : une nette progression par rapport à 2007.

Nous travaillons maintenant à la sortie d’autres ouvrages qui sortiront pour le congrès socialiste de Reims…

l'Encyclopédie du socialisme : la collection qui s’installe de plus en plus dans le paysage socialiste !

Rédigé à 15:34 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Jean-François Claudon & Julien Guérin : Les jeunes socialistes d’Épinay à la génération CPE

École de formation politique, porte-parole des revendications de la jeunesse dans les rangs de la gauche, « bac à sable » où l’on joue avant d’entrer dans la cour des grands, passage obligé pour qui aspire à une grande carrière dans le Parti ? Le Mouvement des jeunes socialistes est peut-être un peu tout cela à la fois.

Les rapports du Parti socialiste avec son organisation de jeunesse n’ont jamais été un long fleuve tranquille : tensions, dissolutions, reprises en main ont été monnaie courante tout au long du XXe siècle.

Contre vents et marées, le MJS refondé en 1971 à Epinay s’est lancé dans une longue quête : celle de l’autonomie par rapport au PS. Elle a été obtenue en 1993. Cet ouvrage revient sur ce pan d’histoire contemporaine, et brosse aussi une fresque de l’histoire du MJS depuis la fin des années soixante : son organisation interne, son regard sur l’épreuve du pouvoir à partir du début des années 1980, son insertion dans les luttes

de la jeunesse, etc.
Jean-François Claudon, né en 1981, originaire de Nancy, est professeur d’histoire, doctorant et militant socialiste en région parisienne.

Julien Guérin, né en 1981, originaire du Puy-en-Velay, est professeur d’histoire. Militant socialiste, il a été membre du bureau national du MJS de 2003 à 2005.

Rédigé à 17:40 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

Robert Chapuis : la rose et la croix - Chrétiens et socialistes

Le christianisme a plus de 2000 ans, le socialisme moins de deux siècles. Ils ont longtemps paru incompatibles.
Aujourd’hui, pourtant, des chrétiens sont socialistes et défendent avec vigueur la laïcité de l’État. Le socialisme s’est ouvert à des valeurs communes à « ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas ».

On peut être désormais à la fois « bon chrétien » et « vrai socialiste », en contradiction avec les interdits pontificaux des temps anciens, lorsque la droite comptait sur l’Église pour défendre ses intérêts.

Aujourd’hui la croix peut s’unir à la rose ! Comment un tel scandale a-t-il pu se produire ?

Ancien dirigeant de la Jeunesse étudiante chrétienne, Robert Chapuis a exercé des responsabilités nationales à l’UNEF, au PSU, au Parti socialiste.
Professeur de lettres, il a été député de l’Ardèche (1981-1988), maire du Teil (1983-2001), secrétaire d’Etat chargé de l’enseignement technique dans le gouvernement de Michel Rocard (1988-1991).

Rédigé à 17:04 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)

Le Parti socialiste et ses déclarations de principes

Le Parti socialiste a mis en chantier une nouvelle déclaration de principes, dont la version définitive sera adoptée en juin prochain.

En 2004, l'Encyclopédie du socialisme a publié une plaquette présentant les quatre déclarations de principes adoptées par le Parti socialiste depuis 1905. Alain Bergounioux, historien du socialisme et président de l’OURS, avait présenté ces textes, les resituant dans le contexte général qui les a portés. Cette plaquette (vendue trois euros, port compris) doit permettre aux militants socialistes de nourrir leurs réflexions, dans le débat qu’ils vont mener jusqu’en juin.

Extraits de la présentation d’Alain Bergounioux :

    « Quatre déclarations de principes en un siècle, c’est à la fois beaucoup et peu. Beaucoup, car les principes ne devraient-ils pas demeurer intangibles ? Peu, car le Parti socialiste a connu des périodes et des épreuves fort différentes et a dû (et doit) faire face à des évolutions et à des mutations qui ont transformé complètement les données politiques, économiques, sociales qui l’ont vu naître. Cette réalité tient, en partie, au caractère finalement mal défini de cette notion de « principes ». Il ne s’agit pas seulement de valeurs – qui, elles ne changent pas, l’égalité, la liberté, la paix, etc. - ni des moyens d’une politique, qui eux changent nécessairement avec les enjeux et les rapports de force. Les principes, c’est un peu un « entre-deux », les normes en quelque sorte que se fixent à eux-mêmes les socialistes, influencés par les exigences de la lutte politique telles qu’elles sont comprises à un moment où les « Déclarations de principes » sont élaborées et débattues. Cela explique que les quatre textes adoptés au cours du XXe siècle aient été marqués fortement par le contexte qui les a portés.
(…) Ainsi, les circonstances ont, à chaque fois, fortement influencé ces déclarations de principes. Elles ont toutes été rédigées pour répondre à une question politique précise. Ce poids du présent explique naturellement la caducité de certains thèmes trop liés à des problématiques datées. Mais la lecture comparée de ces textes permet malgré tout de bien mettre aux jours les éléments de continuité et la logique des évolutions. Des déclarations de principes qui s’en tiendraient à l’expression des valeurs auraient plus de permanence – ce qui est le cas dans d’autres partis européens. Mais, le problème clef pour un parti, qui a l’ambition de « déranger le monde », doit être de penser (ou de repenser) les moyens de mettre en oeuvre les valeurs fondatrices. De ce point de vue, l’histoire de ces déclarations de principes nourrit utilement la réflexion
. »

Rédigé à 12:23 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Jacques Salvator : Une ville peut en cacher une autre - Chroniques d’Aubervilliers

« J’aime l’histoire mais je ne suis pas historien, j’aime Aubervilliers et je suis albertivillarien. La coexistence de ces deux passions m’a amené tout naturellement à m’intéresser à l’histoire de ma ville. L’utilisation dans cette phrase d’un pronom possessif n’est pas fortuite. Comme beaucoup de familles d’origine immigrée, la terre d’asile prend d’abord le nom de la ville de résidence.
Aubervilliers, c’est la France, forcément
… »

Jacques Salvator est né à Paris en 1949 et habite Aubervilliers depuis 1958. Il s’engage dans la vie politique au lendemain des évènements de mai 68 et rejoint le Parti socialiste en 1985. De 1989 à 2008, il est adjoint au maire, chargé de la santé, puis de la jeunesse et de la politique de la ville. Il fut Conseiller régional d’Ile de France de 1998 à 2004 et représente depuis 2006 l’Association des maires de France au Conseil national de lutte contre la pauvreté et les exclusions. Il a été élu maire d'Aubervilliers en mars 2008.

160 pages - Ft : 14 x 20,5 cm - Prix public : 12 €

Rédigé à 16:44 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)

Yann Lasnier : Léo Lagrange, l'artisan du temps libre

Sous-secrétaire d’État à l’organisation du sport et des loisirs dans le gouvernement Léon Blum, Léo Lagrange (1900-1940) symbolise le Front populaire en 1936 et sa mesure la plus emblématique : les congés payés.

Véritable « meccano » des conquêtes du temps libre, il traduit dans les faits les droits nouveaux nés du Front populaire : tourisme, sport, mais aussi culture... une action au service du plus grand nombre, pour le plein épanouissement de la personne humaine.

Cet ouvrage revient sur les grands acquis de cette période, autour d’une volonté politique sans faille, mais permet aussi de retrouver cet inconnu célèbre qui s’est engagé avec passion dans les temps forts de son époque, comme militant socialiste et député du Nord, jusqu’à son décès au front en 1940.

On y trouve aussi quelques-uns de ses textes les plus significatifs :
interventions à la Chambre des députés, articles parus dans la presse, discours dans des congrès socialistes.

On y voit vivre un homme impliqué dans son époque, porteur d’une ambition : permettre à tous l’accès aux loisirs, au savoir et à la connaissance.

Cet ouvrage est préfacé par Pierre Mauroy, sénateur, ancien Premier ministre, président de la Fondation Jean-Jaurès et Lauriane Deniaud, administratrice de la Fédération nationale Léo Lagrange.

Postface de Bruno Le Roux, député, président de la Fédération nationale Léo Lagrange et d’Édith Arnoult-Brill, secrétaire générale de la Fédération unie des auberges de jeunesse et présidente du Conseil national de la vie associative.

Ouvrage publié avec le concours de la Fédération nationale Léo Lagrange

Né en 1967, Yann Lasnier est secrétaire général adjoint de la Fédération nationale Léo Lagrange.

Rédigé à 16:55 dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Denis Lefebvre : Les socialistes et l’Europe - de la Résistance aux traités de Rome

Que faire après la Seconde Guerre mondiale pour assurer le relèvement économique et social du continent, préserver la paix, lutter contre les nationalismes ?

Que faire... si ce n’est bâtir l’Europe.

Chantier jamais achevé, l’unification de l’Europe reste l’une des entreprises les plus innovantes et les plus fécondes de ces dernières décennies. Le Parti socialiste français (la SFIO) y a pris une part déterminante, échafaudant des projets dès les années de Résistance, s’impliquant dans toutes les réalisations à partir de la Libération, artisan passionné des traités de Rome signés en 1957, qui permettent de franchir une étape déterminante.

Cet ouvrage offre une synthèse de ces années décisives, entre projets enthousiastes et contraintes du moment, sur fond de Guerre froide, avec des avancées et des reculs. Rôle de Guy Mollet, le secrétaire général du Parti socialiste, rapports avec les camarades britanniques, crise au moment du rejet de la CED (Communauté européenne de défense) en 1954, liens entre l’économie et le politique, conséquences de l’affaire de Suez fin 1956 : rien ne manque à ce récit pour comprendre cette aventure unique dans l’histoire contemporaine.

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Rédigé à 16:49 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Rénover le Parti socialiste : Un défi impossible ?

Image_4 Au-delà des lacunes personnelles et des erreurs de campagnes, la défaite de 2007 s’explique par l’incapacité du Parti socialiste à proposer un compromis social fédérateur dans une société fragmentée et séduite par le néo-populisme de droite. Cette toile de fond, déjà présente en 2002, renvoie à un problème plus général : le Parti socialiste de ce début de XXIe siècle n’a plus de doctrine.

Confronté à l’effondrement du socialisme réel, aux nouveaux défis écologiques, au chômage de masse, à l’individualisation, la mondialisation, l’allongement de la durée de la vie... il n’a pas révisé depuis vingt ans ses orientations fondamentales et son projet historique. De ce point de vue, le cycle 2002-2006 a été inutile et Ségolène Royal n’a rien fait avancer d’essentiel sur cet  « agenda de la rénovation ».

Cet immobilisme prolongé a des sources profondes : « surmoi marxiste », culture technocratique et ministérielle, repli sur le local, obsession pour l’élection présidentielle... Au-delà de ses réformes organisationnelles, le Parti socialiste ne pourra résoudre ses problèmes que s’il se décide à privilégier le réel sur les postures, à trancher ses vraies divergences. De leur côté, ses dirigeants doivent s’investir dans le débat d’idées et maîtriser leurs compétitions personnelles.
En ce début de cycle, l’optimisme reste alors permis. La rénovation n’est pas un défi impossible. Mais le temps presse...

Laurent Baumel, 42 ans, est responsable national aux études du Parti socialiste. Il a notamment publié L’année zéro de la gauche, Michalon 2003 (avec Laurent Bouvet) et Fragments d’un discours réformiste, contribution au renouveau doctrinal de la gauche française, Aube 2006.

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