L'encyclopédie du socialisme

Pages

  • Bienvenue sur le blog de l'Encyclopédie du socialisme

Les notes récentes

  • Les labyrinthes de la République
  • L’Économie sociale et solidaire, sous la direction de Razzye Hammadi
  • 1981 : Le sens de la victoire
  • Jean-Christophe Cambadélis « Dis-moi où sont les fleurs ? » Essai sur la politique étrangère de Nicolas Sarkozy
  • Les secrets de l’expédition de Suez
  • Georges Guille, le gitan rouge
  • Denis Lefebvre : 1969 et la rénovation socialiste
  • Jacques Fleury : Georges Guille, Le socialisme au cœur
  • Cartes postales
  • Offre spéciale

Rechercher

  • Google

    ailleurs
    Sur ce blog

À propos de l'auteur

Liens

  • Office universitaire de recherche socialiste
  • Éditions Bruno Leprince
  • Fondation Jean Jaurès
  • Site du Parti socialiste
  • Maitron.org, site d'histoire sociale

Désert d'avenir dans la presse

Paul Quinio (Libération, 11 juillet)
« Guillaume Bachelay a suivi Fabius partout, milité comme lui pour le non au référendum européen. Il vient de terminer un livre, Désert d’avenir, qui sort en septembre. »

Michel Noblecourt (Chronique, Le Monde, 19 août)
« Le temps des procureurs (…) Le livre de Guillaume Bachelay, plume talentueuse de la jeune garde fabusienne, dont le titre résume le réquisitoire. »

Nicolas Barotte (Le Figaro, 30 août)
« Le titre de son livre sonne comme un réquisitoire contre Ségolène Royal. En réalité, la réflexion de la plume de Laurent Fabius est historique. Pour lui, la crise du PS remonte à loin : à 1983, deux ans après la victoire de François Mitterrand, lorsque « le socialisme a renoncé à son projet, mais n’a pas osé le dire et d’abord aux siens. » Du tournant de la rigueur au référendum sur le traité constitutionnel de 2005, Guillaume Bachelay décrit les étapes du renoncement du Parti socialiste à son idéal. »

Philippe Foussier (Communes de France, septembre)
« Pour l’avenir, Guillaume Bachelay trace quelques pistes : laïciser le capitalisme, bâtir une souveraineté économique européenne, gagner la bataille du savoir et de l’emploi. Mais, on l’aura compris, ce petit livre se penche surtout sur notre passé récent pour mieux fonder l’avenir. »

Noël Bouttier (Témoignage chrétien, 6 septembre)
« Critique mais sans acharnement sur l’aventure de Ségolène, le jeune responsable socialiste tente de prendre de la hauteur dans un marigot peuplé de crocodiles, d’éléphants et de lionceaux. Dans les dernières pages, il esquisse quelques pistes qui pourraient nourrir le débat. Enfin, un livre qui appelle à la confrontation intellectuelle ! »

Michel Noblecourt (Le Monde, 19 septembre)
« Le petit livre de Guillaume Bachelay n’est pas un pamphlet. C’est l’essai brillamment troussé d’un jeune qui ne veut pas se taire »

Didier Hassoux (Le Canard Enchaîné, 19 septembre)
« Dans un Désert d’avenir petit mais costaud, le « lionceau » Guillaume Bachelay juge, lui, que « la débâcle de 2002 a ouvert au sein du Parti socialiste une crise idéologique, organisationnelle et de leadership majeure (…) D’une défaite l’autre, nous tournons en rond depuis cinq ans» Au point de finir dans L’impasse ? »

Pierre Magnan (site de France 2, 24 septembre)
« Ce petit livre rose d’une richesse exceptionnelle, est un livre assez noir pour le PS. Il décrit, avec force de citations et rappel des faits, le Parti socialiste depuis 1981. 25 ans de succès mais aussi d’absences d’explications sur les grandes décisions qui aboutissent, selon l’auteur, aux échecs de 2002-2007
Le titre pourrait faire croire à une nouvelle charge contre Ségolène Royal. Il n’en est rien. Pour l’auteur, la défaite vient de plus loin.
»

Sylvie Santini (Paris Match, 27 septembre)
« Guillaume Bachelay prône « un parti ouvert capable de nouer sans drame des alliances avec sa gauche… et avec le centre ». Malgré son titre persifleur, son livre est le seul à échapper à la tentation des petits meurtres entre camarades. »

L’auteur a aussi participé à diverses émissions de radio et de télévision ces dernières semaines Europe 1, i-télé) et vient de participer dimanche 30 septembre à l’émission de Serge Moati, « Ripostes »
http://www.france5.fr/ripostes/

Rédigé à 11:44 dans La presse en parle... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Désert d'avenir ? Le Parti socialiste 1983-2007

Pourquoi le Parti socialiste a-t-il subi trois échecs successifs à l’élection présidentielle ? Mieux vaudrait répondre à cette question avant 2012...

Depuis le « tournant de la rigueur » en 1983, les trouvailles rhétoriques masquent les revirements et les renoncements : « parenthèse », « ni-ni », « ouverture de capital », « ordre juste ». Résultat : les catégories populaires précarisées et les couches moyennes déclassées désertent la gauche.
Clarifier notre rapport au monde est une chose, droitiser nos réponses en est une autre. Pour un socialiste, le principal problème commence quand la contrainte du réel ne lui apparaît plus comme une donnée extérieure à laquelle il peut opposer une politique, mais comme l’intériorisation de l’impossibilité d’agir.
C’est alors que le gestionnaire tue le réformiste, que la droite consume la gauche et que les dégelées succèdent aux déroutes

Guillaume Bachelay, 33 ans, est membre du conseil national du PS. Après avoir été membre du cabinet de Laurent Fabius, président de l’Assemblée nationale puis ministre de l’Économie, il a coordonné la Maison des élus socialistes et républicains de 2004 à 2007. Il est aussi élu local.

Rédigé à 19:12 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Le PS mis à nu par Guillaume Bachelay (France3.fr)

Ce petit livre (rose) de 120 pages, d'une richesse exceptionnelle, est un livre assez noir pour le PS

Il décrit, avec forces citations et rappels des faits, le PS depuis 81. 25 ans de succès mais aussi d'absences d'explications sur les grandes décisions qui aboutissent, selon l'auteur, aux échecs de 2002-2007.

Le titre pourrait faire croire à une nouvelle charge contre Ségolène Royal. Il n'en est rien. Pour l'auteur, la défaite vient de plus loin .

Guillaume Bachelay a été la plume de Laurent Fabius qu'il a accompagné dans plusieurs cabinets. Ce normalien est aussi un homme de terrain puisqu'il est élu de Cléon, ville ouvrière de Haute-Normandie, bastion fabiusien dans le PS.

Aujourd'hui, ce jeune homme de 33 ans remplace l'ancien premier ministre au Bureau national du PS. Il sait donc de quoi il parle quand il décrit un PS qui "tourne en rond", quand il affirme "c'est parce qu'elle ne pense plus la société que la gauche est privée de l'alternance".

Bachelay fait partir la crise d'identité du PS, son incapacité à choisir une idéologie claire et à s'y tenir à la crise de 1983. Epoque où François Mitterrand fit le choix de rester dans le SME (système monétaire européen) et choisit une politique de rigueur extrêmenent sévère. "La vérité est qu'en 1983, le socialisme a renoncé à son projet mais n'a pas osé le dire, et d'abord aux siens", écrit-il. Un mal ("pour survivre à la dialectique  fatale du réel, les socialistes se firent contorsionnistes") qui marque, selon lui, le PS jusqu'à aujourd'hui. Un mal qui explique notamment la défaite de 2002 puis la crise sur la constitution européenne.

Ce mal, selon Bachelay, c'est l'incapacité du PS à expliquer ces choix ("politique de l'autruche"). "Faute de cohérence, il fallait sauver les apparences", écrit-il. Bachelay revient avec précision sur la politique menée par Jospin à Matignon (97-2002) pour montrer que cette dualité entre le discours et les actes ("le socialisme de Janus, deux visages, l'un social, l'autre libéral", selon notre normalien) pèse toujours sur le PS.

Pour ce fabiusien, la cause de l'échec est la suivante : "Ce n'est pas faute d'adaptation à la mondialisation (et à l'Europe dans la mondialisation) que l'expérience de la gauche s'est soldée par un désaveu en 2002, mais faute de compréhension de sa portée, d'explication de ses avancées, de résistance à ses injonctions, de réaction suffisante à ses dégâts".

Le constat est donc sévère et ce n'est pas la lutte des personnalités (Bachelay dresse de rapides et efficaces portraits des prétendants de 2007) pour le leadership du PS qui a facilité le débat idéologique.

Reste l'avenir, c'est la partie la plus faible de cet excellent livre. Il ouvre le débat, propose quelques pistes qui ne suffiront sans doute pas à régler la triple crise qui, selon lui, frappe son parti: "crise de doctrine, d'alliances et de chefitude". Le débat est ouvert.

Rédigé à 06:37 dans La presse en parle... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

No. 12 - Jean Poperen, une vie à gauche

Poperen_maurel Jean Poperen (1925-1997) reste méconnu. Et pourtant, sa vie embrasse avec passion 50 ans de l'histoire de notre pays et de la gauche, de la Résistance au PCF, du PSU au Parti socialiste. Il a été à la fois un militant féru de débats théoriques, un tribun d'exception, un responsable politique éminent (secrétaire national du PS pendant plus de dix ans, puis ministre), un homme de presse et de réseaux, un élu d'envergure dans le Rhône (maire, député) et l'auteur de nombreux ouvrages. Cette biographie décrit l'histoire d'un homme fidèle à ses idées, ferme sur les principes, jaloux de son autonomie, qui ne s'est jamais contenté, contrairement à ce qui est souvent affirmé, du rôle confortable de vigie minoritaire.

Emmanuel Maurel, est né en 1973. Il est conseiller régional d'Ile-de-France et membre du conseil national du Parti socialiste. Editorialiste de l'hebdomadaire La Corrèze républicaine et socialiste, il est également directeur du mensuel Parti Pris.

(Ouvrage paru en novembre 2005)

Rédigé à 01:48 dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

L'ouvrage d'Emmanuel Maurel vu par Daniel Bernard de Marianne

Jean Poperen, un modèle de gauche pour la politique.

N° 444 Semaine du 22 octobre 2005 au 28 octobre 2005

Sans être archéozoologue, il préfère a compagnie des mammouths à   cille des éléphants. Avec une bonne dose de nostalgie et une once   de fantaisie, Emmanuel Maurel, conseiller régional d'Ile-de-France,   a donc choisi de rédiger une biographie de son premier patron, Jean   Poperen. Qui ça ? Oui, Poperen, ce dirigeant disparu en 1997,   ministre et député, assez important dans l'histoire de la gauche   pour que Michel Rocard juge utile de le flinguer post   mortem, le décrivant comme « un mélange de populisme jusqu'au-boutiste, de radicalisme irréaliste, avec une touche   d'ouvriérisme lyrique » .

S'il suit le parcours de cette forte tête coiffée en brosse, de   la Résistance aux instances du PS, ce petit livre fuchsia est   surtout l'hommage d'un nouveau aux anciens. Convictions, idées,   loyauté, confrontation idéologique : Maurel, jeune plume plantée à   gauche du PS, raconte une époque où l'engagement politique n'était   pas incompatible avec le goût de la littérature et le sens de   l'histoire. Dans les années Poperen, la réflexion nourrissait   l'action et justifiait l'ambition ; désormais, l'indigence   cautionne souvent l'impuissance. Maurel, en plein congrès   socialiste (il soutient Fabius) prend le temps de regarder dans le   rétroviseur. Pour tâcher d'être à la hauteur de l'héritage et se   vacciner contre le cynisme ambiant.

Jean Poperen, une vie à gauche, d'Emmanuel Maurel, éd.   L'Encyclopédie du socialisme, 127 p., 7,50 € .

 

Rédigé à 01:52 dans La presse en parle... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

No. 14 - Les socialistes et la ville

Image_5 Huit Français sur dix habitent aujourd’hui en milieu urbain. Lieu d’échanges, de progrès, de rencontres, les villes voient aussi se concentrer toutes les injustices et des conditions de vie souvent difficiles. Ce phénomène n’est certes pas récent, mais il tend à s’accentuer.

Les socialistes ont toujours été concernés par les questions de la ville, des réflexions théoriques des premiers utopistes du XIXe siècle, à la gestion quotidienne des milliers de communes qu’ils dirigent. Ils sont attachés à l’idée que la ville est un espace où doit pouvoir s’incarner l’espace républicain, où la démocratie doit s’exprimer, où la société peut évoluer positivement.

Cet essai, nourri de théorie et de pratique réformiste au quotidien (l’expérience menée par l’auteur à Sotteville-lès-Rouen est à cet égard exemplaire) développe la conception qu’ont les socialistes de la politique de la ville, qui peut aussi contribuer à réhabiliter le politique, en ces temps de crise de confiance en l’avenir.

Urbaniste-sociologue de formation, Pierre Bourguignon est actuellement député de la Seine-Maritime, maire de Sotteville-lès-Rouen et vice-président de la Communauté de l’agglomération rouennaise. Il est aussi président de l’association « Ville et banlieue » et membre du Conseil national de villes.

Télécharger le bulletin de commande

Rédigé à 01:34 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Les socialistes et la sécurité

Blazy Pendant très longtemps, la gauche n'a pas su prendre suffisamment en compte le besoin de sécurité. Aujourd'hui, le schéma simpliste d'une gauche laxiste et angélique a vécu. C'est en 1997 que les socialistes ont réalisé leur aggiornamento sur la sécurité, fruit d'une lente évolution. L'élection présidentielle de 2002 a été perdue sur la sécurité... alors que la gauche au pouvoir avait agi contre l'insécurité. Mais ce thème a été instrumentalisé par une droite n'entendant résoudre le problème que sous le seul angle de la sanction, dans une démarche de répression sociale et sociétale. Les socialistes doivent proposer une véritable alternative à la démagogie sécuritaire de la droite. Cet ouvrage offre un bilan des dernières décennies écoulées, et propose des pistes d'action concrètes, pour concilier exercice des libertés et droit à la sécurité.

Agrégé d'histoire-géographie, Jean-Pierre Blazy est maire de Gonesse. Diplômé de l'Institut des hautes études de sécurité intérieure, il est vice-président du groupe d'études sur la sécurité intérieure à l'Assemblée nationale. Il co-anime le groupe de travail sur la prévention de la délinquance au sein du Conseil national des villes.

(Ouvrage paru en 2006)

Rédigé à 13:23 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

No. 6 - Jean Jaurès : Textes choisis

070 Jean Jaurès (1859-1914) apparaît toujours, près d'un siècle après son assassinat, comme le fondateur du socialisme français. Il laisse une œuvre considérable qui demeure dispersée. Cet ouvrage reprend deux textes fondamentaux : Socialisme et liberté (1898) et le Discours à la jeunesse (1903). D'un côté, Jean Jaurès montre que le socialisme enrichit la liberté pour l'individu. De l'autre, dans son discours prononcé à la distribution des prix au lycée d'Albi, il offre une subtile et forte méditation sur la destinée humaine, avec cette phrase célèbre : " Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel ". Cet ensemble nourrit les débats de la gauche et du socialisme au début du XXIe siècle.

Rédigé à 08:08 dans Anthologie, Rééditions, textes anciens | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

No. 5 - La laïcité, centre de l'Union

071 En ce début du XXIe siècle, la laïcité demeure d'actualité. Elle occupe chaque jour la une : du foulard islamique dans les établissements scolaires aux ouvertures de piscines municipales réservées aux femmes de confession musulmane, en passant par l'enseignement du fait religieux à l'école ou l'absence déplorée par Jean-Paul II d'évocations de l'héritage chrétien dans la Constitution européenne. La loi de séparation de 1905 devrait être réécrite, plaident les nostalgiques ou suggèrent de faux modernistes. En réalité, cette loi est-elle appliquée ? N'est-elle pas, depuis des décennies, négligée sinon oubliée ? La laïcité est porteuse de progrès et de tolérance. Elle est la garantie de liberté absolue de conscience. Tournée vers les droits de l'Homme, elle rassemble, avec force et vigueur. Elle apparaît comme le véritable centre de l'union.

Jean-Michel Reynaud, cadre bancaire, membre du Conseil économique et social, militant associatif, est l'auteur de plusieurs ouvrages et de nombreux articles.

(Ouvrage paru en 2003)

Rédigé à 06:47 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

No. 10 - Que faire au Parti socialiste ? ou l'éternel commencement (1905-2005)

Jcc_ency Après les régionales et les européennes qui ont vu le succès du Parti socialiste, la gauche est-elle remise en selle ? Jean-Christophe Cambadélis répond par la négative. Pour lui, le Parti socialiste connaît trois crises : celle du leadership, celle du programme, celle de la possibilité d'une nouvelle alliance de gauche. Sur ces trois questions, Jean-Christophe Cambadélis affirme d'une plume brillante que, pour changer la France, il faut changer la gauche. Avec des formules percutantes, il n'hésite pas à défendre ses thèses sans se soucier du " qu'en-dira-t-on " socialiste. Ce livre est une contribution décisive aux réflexions en cours pour le socialisme et pour la gauche française.

Député de Paris, architecte de la gauche plurielle portée sur les fonds baptismaux avec Lionel Jospin, Jean-Christophe Cambadélis est apprécié comme un des meilleurs analystes politiques du Parti socialiste. Il a déjà publié plusieurs ouvrages dont un essai remarqué sur la défaite du Parti socialiste à la présidentielle de 2002, L'étrange échec (Fondation-Jean-Jaurès/Plon).

(Ouvrage paru en août 2005)

Rédigé à 06:40 dans Essai politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

« | »

Catégories

  • Actualité (3)
  • Anthologie (3)
  • Biographie (5)
  • Essai politique (13)
  • Histoire (7)
  • La presse en parle... (4)
  • Livres (1)
  • Mémoires du socialisme (4)
  • Rééditions, textes anciens (3)
See More

Catalogue

  • Téléchargez le catalogue de commande
Abonnez-vous à ce blog (XML)

Archives

  • septembre 2011
  • avril 2011
  • septembre 2010
  • octobre 2009
  • juillet 2009
  • décembre 2008
  • octobre 2008
  • septembre 2008
  • août 2008
  • juillet 2008

Plus...